Bien que les parties en conflit aient convenu d'un cessez-le-feu, de hauts fonctionnaires à Washington ne cessent de parler d'un "Plan B" prévoyant d'éventuelles actions au cas où la trêve serait rompue. De nombreux républicains, y compris le favori de la course préélectorale Donald Trump, appellent à créer une zone de sécurité où un contingent supplémentaire pourrait être déployé en vue de protéger les réfugiés.
"Selon les estimation du Pentagone, la création d'une zone de sécurité qui soit effectivement opérationnelle nécessite entre 15.000 et 30.000 militaires. Sommes-nous prêt à sacrifier tant de gens à ces fins?", a-t-il demandé en s'adressant au Sénat.
Néanmoins, d'après M.Kerry, Washington se penche sur d'autres scénarios dans l'éventualité où l'accord sur le cessez-le-feu ne serait pas respecté.