Selon les données du journal, ces 12 cas ne sont pas liés à des activités terroristes.
Auparavant, le journal rapporte que depuis 2008, Apple a aidé le gouvernement à extraire des informations d'au moins 70 portables.
Il y a une semaine, le tribunal de Californie a demandé au groupe Apple de fournir au Federal Bureau of Investigation (FBI) un logiciel spécialisé afin d'avoir accès au smartphone du terroriste Rizwan Farook responsable de la fusillade à San Bernardino. Le président du groupe Apple, Tim Cook, a rétorqué que cette exigence présentait une menace pour la sécurité des clients, tandis que ses conséquences étaient "hors du cadre légal". Il a également a déclaré, en dépit de la décision du tribunal, que la société ne transférerait pas le logiciel aux services secrets, ajoutant que toutes les données nécessaires avaient été envoyées aux autorités.