Dans ledit communiqué, le gouverneur a également indiqué que ces derniers temps, les critiques vis-à-vis du pouvoir étaient montées d'un cran sur Internet, notamment sur les réseaux sociaux, rapporte le journal britannique Times.
Le gouvernement turc resserre délibérément l'étau sur les opposants du régime sur fond d'intensification des activités de la milice kurde affiliée au Parti des travailleurs du Kurdistan, souligne le quotidien.
"La liberté d'expression est au plus bas en Turquie", a déploré le représentant de l'ONG Amnesty International, Andrew Gardner. D'après lui, plusieurs poursuites pénales tout à fait "injustes" ont été lancées dans le pays ces derniers temps. Même quelques mineurs, poursuit-il, se sont retrouvés dans le collimateur de la justice.