Reuters rapporte, se référant à la télévision officielle syrienne, que Walid Mouallem a souligné la nécessité de composer une liste des représentants de l'opposition syrienne qui participeront aux discussions. Il a ajouté que le gouvernement avait également besoin d'une liste d'organisations terroristes.
Avant l'ouverture des discussions intersyriennes le 25 janvier à Genève, l'émissaire de l'Onu Staffan de Mistura doit achever ses consultations avec tous les participants au règlement.
Depuis mars 2011, la Syrie est en proie à un conflit armé. Les forces gouvernementales combattent des détachements armés appartenant à des groupes militaires différents. Les djihadistes des groupes extrémistes Etat islamique et Front al-Nosra (tous les deux interdits en Russie) représentent le danger principal.