Here is the new elements(113rd elements) that discovered by a 14 yrs of age young boy and now developed as japonium pic.twitter.com/30CbxuBsbn
— nogoodgalaxy (@mg_nogoodgalaxy) 26 Décembre 2015
Toujours contestée, la primauté de la découverte, selon l'agence Sputnik, est cependant reconnue à l'équipe russo-américaine qui a été la première à publier les résultats de ses recherches. Résultats sur lesquels plane l'ombre d'un doute, s'empressent de souligner les partisans de l'équipe nippone.
Toujours est-il que le dernier mot reviendra à l'IUPAC (Union internationale de chimie pure et appliquée, ndlr) et à l'IUPAP (Union internationale de physique pure et appliquée, ndlr). D'ores et déjà, la balance semble pencher en faveur des scientifiques japonais, les deux organismes internationaux émettant des doutes quant aux résultats présentés par l'équipe russo-américaine en 2003.
元素を発見した国の周期表 #新元素 #ジャポニウム #周期表 #化学 #japonium #chemistry https://t.co/JQhCqTvjph pic.twitter.com/dLiSUYQ9a0
— もっさん (@Gamosan_) 26 Décembre 2015
La balle étant dans le camp des Nippons, le nouvel élément sera-t-il donc baptisé Japonium? Cette question épineuse, poursuit Sputnik, sera définitivement tranchée en janvier 2016 à l'occasion d'une réunion régulière de l'IUPAC.
Les éléments dits radioactifs dont le numéro atomique dépasse celui de l'uranium (92) n'existent pas dans la nature, du moins pas à l'état stable. Ainsi, tous les éléments chimiques ayant entre 93 et 100 protons dans leur noyau sont synthétisés dans des réacteurs nucléaires ultrapuissants, tandis que les atomes dont le nombre de protons dépasse 100 ne sont susceptibles d'être obtenus que dans des accélérateurs de particules performants.