La liste publiée comprend des utilisateurs des comptes sur les réseaux Facebook et Google+ ayant partagé ou bien cliqué "j'aime" des groupes ou des postes liés aux activités du Ku Klux Klan (KKK), une organisation raciste qui milite aux Etats-Unis pour la suprématie blanche depuis les années 1960.
Hackers from Anonymous say they're set to expose hundreds of KKK members https://t.co/27lENyoMMN #OpKKK pic.twitter.com/QsGiAzZEwf
— Al Jazeera America (@ajam) 5 ноября 2015
Les hacktivistes ont toutefois précisé qu'afin de se procurer cette foultitude de noms, ils n'ont eu aucun recours au piratage. Ils les ont obtenus grâce à une analyse minutieuse et détaillée des réseaux sociaux.
Anonymous releases much anticipated list of alleged KKK members: https://t.co/sNecGMA6we pic.twitter.com/wdOw1Pn5iS
— The Hill (@thehill) 6 ноября 2015
Cette croisade contre les xénophobes est censée être la contre-riposte des Anonymous aux menaces proférées par le Ku Klux Klan à l'endroit des participants aux protestations de Ferguson (est des Etats-Unis), survenues suite à l'assassinat d'un jeune Afro-Américain. En août 2014, un policier blanc ayant abattu un adolescent à peau noire avait été acquitté par le grand jury de Missouri.
last night in Ferguson vs. KKK rally in SC vs. #Ferguson a year ago. pic.twitter.com/RTkx0Ov6Ft
— akilahiman (@flowerchild912) 10 августа 2015
Les réseaux sociaux, qui leur permettent d'unir leurs partisans afin d'effectuer de massives démarches, constituent le principal instrument dans les mains des Anonymous.