Selon eux, celui-ci ne peut être que le résultat d'une autre action technique ou physique. Par contre, les experts russes qui jugent probable la version d'une dépressurisation explosive du fuselage de l'Airbus, pensent qu'il est encore trop tôt pour éliminer le facteur humain. Les experts techniques et le groupe d'investigation du Comité d'enquête russe planchent activement sur toutes les versions de la catastrophe.
Selon les experts, l'avion aurait pu entrer en piqué non seulement après une dépressurisation explosive, mais aussi sous l'action des pilotes.
Le Comité d'enquête a expliqué que comme dans chaque catastrophe, toutes les versions seraient étudiées. "Mais nous pourrons parler d'une version prioritaire seulement après la fin de l'investigation, notamment le décryptage des boîtes noires et l'obtention des résultats de toutes les expertises nécessaires", a déclaré le porte-parole du Comité Vladimir Markine.