"Un cas bien connu: la première information sur les frappes aériennes contre de présumées fausses cibles est apparue avant même le décollage des avions. Dans ce cas-là, tout est transparent. Et le ministère (russe, ndlr) de la Défense donne une information exhaustive", a-t-il remarqué.
M. Peskov a ajouté que cela concernait également les opérations en Syrie pendant les rencontres du président russe Vladimir Poutine avec la chancelière allemande Angela Merkel et le président français François Hollande, à Paris.
"Nos partenaire ont vraiment évoqué le sujet selon lequel les frappes visaient d'après eux non pas l'EI (le groupe terroriste Etat Islamique, ndlr) mais l'opposition soi-disant modérée", a souligné le porte-parole du Kremlin. "Pourtant, jusqu'à ce jour, on aurait du mal à trouver quelqu'un qui puisse expliquer ce que signifie +opposition modérée+, a-t-il fait remarquer. Et (Vladimir, ndlr) Poutine s'est d'ailleurs beaucoup intéressé à cela et a demandé en quoi une opposition modérée pouvait se distinguer d'une opposition non-modérée.", a ajouté M.Peskov.