Il s’agit tout d’abord de Tcherkesses syriens, une nation du Caucase émigrée en Syrie à la fin du XIXe siècle.
Selon le Centre de la lutte contre l'extrémisme du ministère russe de l’Intérieur, l’accueil de ces réfugiés représente une menace. Cependant cette nation a le sens de la responsabilité sociale. Pour accueillir des réfugiés il faut avoir de la volonté politique, a évoqué l’auteur de l’initiative, Maxime Chevtchenko, membre du Conseil des droits de l'homme auprès du président russe.
La Russie pourrait accueillir de 5.000 à 10.000 Tcherkesses sur les 80.000 qui habitent en Syrie, d’après M. Chevtchenko qui ajoute qu’ils pourraient être réfugiés dans les Républiques d’Adyguée, de Karatchaïévo-Tcherkessie et de Kabardino-Balkarie ou dans le Kraï de Krasnodar.