Les chercheurs ont confirmé l'emploi d'armes chimiques par les djihadistes de l'EI dans ces régions. Les attaques en question visaient les combattants des Unités de protection du peuple kurde (YPG) ainsi que des résidents civils.
Auparavant, les YPG ont annoncé que les terroristes avaient utilisé des missiles contenant du gaz toxique dans des attaques perpétrées le 28 juin dernier, prenant pour cible le quartier de Salhiya, à Hassaké, ainsi que d'autres positions tenues par les Kurdes au sud de la ville de Tall Brak.
Début juin, la ministre australienne des Affaires étrangères Julie Bishop a déclaré que djihadistes de l'Etat islamique déployaient de sérieux efforts en vue de développer des armes chimiques et recrutaient des experts hautement formés à ces fins.