"En établissant un dialogue s'appuyant sur les principes d'équité et de respect mutuel des intérêts de l'un de l'autre, la Russie et les USA sont capables de trouver les solutions aux problèmes internationaux les plus complexes et parer efficacement les défis et les menaces globales", cite le télégramme relayé par le service de presse du Kremlin. Les observateurs notent que le 12 juin, le dirigeant américain n'a pas félicité Poutine à l'occasion du jour de la Russie.
Les médias occidentaux supposent que pour la partie russe, Clinton pourrait être un partenaire encore moins confortable qu'Obama. Le président actuel apprécie l'héritage du "redémarrage", alors que Clinton serait dénuée de "romantisme" et établirait des relations avec la Russie en partant des réalités politiques délicates.