« La question la plus importante, c'est la signature de la convention sur un échange d'information rapide en cas d'accident nucléaire, et nous travaillons déjà là-dessus. Nous espérons signer ladite convention le plus tôt possible et organiser de vastes manœuvres conjointes juste après sa signature afin de travailler minutieusement toutes les procédures », a rapporté Borde Pedersen, le vice-ministre des Affaires étrangères de la Norvège.
M. Kryukov a annoncé qu'une infrastructure pour le recyclage et la gestion des déchets radioactifs serait mise en place d'ici 2017. Il a également souligné l'importance d'un cofinancement de la part de la Norvège.
« Nous avons naturellement la possibilité de réaliser ces travaux mais le cofinancement norvégien pourra contribuer à une gestion des déchets plus rapide. Il est également à noter que la Norvège peut contrôler l'utilisation de la somme allouée », a conclu M. Kryukov.