L'amendement ad hoc soumis aux sénateurs n'a pas réuni les 60 voix nécessaires sur 100.
Si ce texte avait été adopté, tout accord aurait dû être approuvé par au moins 60 voix des sénateurs, ce qui rendrait difficile l'adoption de l'accord par la chambre haute.
Bien que la Maison Blanche invite le Congrès à ne pas empêcher les médiateurs internationaux de conclure un accord définitif avec Téhéran, le président Barack Obama estime toutefois que les parlementaires doivent pouvoir dire leur mot lors de la ratification du dit accord.
L'UE et les Etats-Unis ont pour leur part promis de suspendre leurs sanctions économiques et financières contre l'Iran lorsque l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) aura constaté que Téhéran s'est soumis à toutes ses obligations.