Le personnel de la résidence du premier ministre a aperçu le drone mercredi main, et a immédiatement téléphoné à la police. Il a été établi par la suite que le drone à quatre hélices émettait des radiations, mais à des quantités qui n'étaient pas dangereuses pour la santé.
Les tests ont révélé que des isotopes de césium se trouvaient dans la bouteille en plastique portant le signe de radioactivité accrochée au drone. C'est à cause de la présence de cette substance que la police travaille activement sur la version selon laquelle le drone n'a pas atterri sur le toit du site protégé par hasard.
L'utilisation de drones au Japon n'est pas restreinte par la loi. De toute évidence, les choses devraient changer très prochainement. La question gagne également en actualité à l'approche des Jeux olympiques d'été, qui se dérouleront à Tokyo en 2020 et demanderont un niveau de sécurité élevé.