"Nous réclamons que l'Italie rappelle son ambassadeur de Kiev et disons non aux sanctions contre la Russie tout comme" le premier ministre grec Alexis Tsipras, a indiqué M.Ferrero.
Selon lui, l'adoption de la loi prévoyant une peine de 10 ans de prison pour les personnes qui fabriquent ou diffusent des symboles communistes ou nazis témoigne de l'ambiance qui règne dans le parlement et le gouvernement ukrainien.
"Les dirigeants ukrainiens actuels se livrent à des idées de guerre et souhaitent chasser les russophones. Des processus absolument antidémocratiques sont en cours en Ukraine en raison de la présence de nazis dans le gouvernement. L'Union européenne et les Etats-Unis, qui ont encouragé le coup d'Etat ukrainien, sont responsables de cette situation", a conclu Paolo Ferrero.