« En ce qui concerne la Serbie, nous savons que ce pays a été soumis à des pressions par l'Union européenne ces derniers temps, elle reste sous sa pression actuellement afin de parvenir à une convergence rapide à propos des positions de politique étrangère », a-t-il noté au cours d'un télémarathon Moscou-Bruxelles, organisé par l’agence Rossiya Segodnya.
Selon Tchijov, les dirigeants serbes refusent de succomber à une telle pression, et ils peuvent être entendus. « Ce n’est pas seulement la sympathie traditionnelle pour notre pays, mais cela est dû au fait que, dans l'année à venir, la Serbie présidera l'OSCE. En tant que pays président, elle ne devrait pas maintenir la position d’un groupe des pays dans cette organisation », a ajouté le représentant permanent de la Russie auprès de l'UE.