La Cour a considéré comme un crime la collecte de signatures à l'appui du statut officiel de la langue russe et d'un référendum sur la fédéralisation de l'Ukraine, organisés par Davidtchenko à Odessa.
Le 17 mars, le Service de sécurité ukrainien a interpellé Davidtchenko à Odessa et l’a emmené à Kiev. Selon ses proches, on lui a promis de le libérer en échange d'une coopération à l'enquête et d’un aveu de culpabilité, mais Davidchenko se considère innocent. Il déclare qu’il exerçait ses droits civils par des moyens légaux et pacifiques.