Selon la télévision publique suisse RTS son arrestation a été demandée par le procureur Dario Zani dans le cadre d’une instruction pénale pour abus de confiance portant sur la somme de 400.000 euros.
Le procureur a également informé monsieur Gaïdamak qui s’est présenté comme « diplomate angolais » de la demande d’extradition de la France pour l’affaire du trafic d’armes vers l’Angola.
En octobre 2009, Arkadi Gaïdamak a été condamné en France à 6 mois de prison ferme pour son implication dans un trafic d’armes avec l’Angola au début des années 1990 pour un montant de 790 millions de dollars. En avril 2011, la Cour d’appel de Paris a infirmé le jugement prononcé en première instance, retenant seulement à l’encontre des personnes accusées dans cette affaire l’abus et le recel de biens sociaux, la fraude fiscale et le blanchiment.
Selon les médias français, Arkadi Gaïdamak aurait demandé sa libération sous caution. T