Une autre histoire retentissante. En 2004 Georges Bush voulait nommer au poste du ministre de la sécurité nationale l’ancien chef de la police de New-York Bernard Kerik. Celui-ci avait induit en erreur les adjoints du président en disant de ne pas avoir des relations malhonnêtes avec des entrepreneurs qui luttaient pour obtenir des contrats municipaux dans la ville. Cela s’est avéré faux.
La corruption se répand également. En 2009 le directeur du FBI Robert Muller a dû reconnaître que le nombre des actions pénales pour corruption avait augmenté de 58 % à partir de 2003. Cette même année au cours d’une opération à New-Jersey 44 personnes ont été arrêtées pour la corruption et le blanchiment d’argent, dont 3 maires et d’autres officiels. Des rabbins de New-York et de New-Jersey légalisaient l’argent criminel par le truchement de fonds de bienfaisance.
Les combines avec les fonds de bienfaisance sont assez répandues.
La présence de l’armée US dans le monde fait augmenter le nombre de trafics, cela concerne autant l’Irak que l’Afghanistan. Des dizaines d’officiers travaillant dans le ravitaillement ont été condamnés pour escroquerie et corruption.
Ainsi, souvent aux USA des décisions sont prises grâce aux pots-de-vin, qu’il s’agisse de contrats ou de rencontres avec le président. /L