A la fin de 1989 il a été décidé de ne pas accomplir des missions spéciales à l’aide des sous-marins avec l’équipage. Les militaires ont estimé qu’il est mieux d’accomplir les missions anti-diversion avec les moyens robotisés. Ces dernires peuvent effectuer des missions tant militaires que civiles, dit l’expert Vladimir Chtcherbakov :
« Il s’agit de l’examen du fonds maritime. On peut aussi faire exploser les navires ennemis, etc. ».
Mais des experts disent qu’il est plus efficace de lutter contre les navires ennemis avec les mines et les torpilles. Par contre, les drones sous-marins peuvent liquider les champs de mines. La mise au point des drones demande les moyens financiers considérables ainsi que la technique perfectionnée, mais ni les civils, ni les militaires ne pourront se passer de ces drones ce qui est confirmé par l’expérience d’autres pays, dit Vladimir Chtcherbakov :
« Parmi eux nous voyons les USA, la France, la Grande-Bretagne, la Suède ou le Japon. Leurs drones sont destinés tant aux militaires qu’aux civils ».
En Russie, ce matériel est utilisé lors des travaux sous-marins à destination civile.
Les experts prédisent que la mise au point des drones sous-marins va s’intensifier. /L