Le leader communiste russe Guennadi Ziouganov a déclaré samedi à la séance plénière du Comité central du parti dans la région de Moscou que l’idée de modernisation du pays formulée par le président Dmitri Medvedev lui donnait de l’espoir. Selon Ziouganov, il est possible que les forces alternatives en Russie soutiennent le président dans l’application des réformes.
Cela concerne essentiellement l’article de Dmitri Medvedev « La Russie, en avant ! » publié en septembre. Le président a formulé les thèses du message qu’il adressera en novembre à l’Assemblée fédérale. Selon le président, il importe de régler sans tarder les problèmes relatifs à l’économie inefficace, à la corruption chronique, à la sphère sociale à moitié soviétique, à une faible démocratie, aux tendances démographiques négatives et à l’instabilité au Caucase. Les efforts substantiels sont déjà déployés en vue de régler ces problèmes. Dmitri Medevedev a proclamé dans son article la renonciation au modèle économique fondé sur les matières premières en faveur d’un modèle innovant ayant défini cinq vecteurs stratégiques. Premièrement, la Russie entend se classer parmi les leaders mondiaux d’après l’efficacité de la production et l’utilisation de l’énergie. Deuxièmement, elle accédera à un niveau plus élevé dans les technologies nucléaires. Troisièmement, les spécialistes russes perfectionneront les technologies informatiques. Quatrièmement, la Russie se dotera d’infrastructure terrestre et spatiale de diffusion de tous les types d’information. Cinquièmement, elle sera à l’avant-garde de la lutte contre les maladies virulentes, cardio-vasculaires, oncologiques et neurologiques. Le système politique russe sera au plus haut point ouvert et souple. Le président Medvedev est convaincu que la Russie surmontera la crise, mettra fin au retard, à la corruption et parviendra à se moderniser.
L’opposition a approuvé ces objectifs stratégiques ce qui se présente parfaitement logique. Au micro le directeur général de la Fondation russe de la politique efficace Kirill Tanaev.
Cela concerne essentiellement l’article de Dmitri Medvedev « La Russie, en avant ! » publié en septembre. Le président a formulé les thèses du message qu’il adressera en novembre à l’Assemblée fédérale. Selon le président, il importe de régler sans tarder les problèmes relatifs à l’économie inefficace, à la corruption chronique, à la sphère sociale à moitié soviétique, à une faible démocratie, aux tendances démographiques négatives et à l’instabilité au Caucase. Les efforts substantiels sont déjà déployés en vue de régler ces problèmes. Dmitri Medevedev a proclamé dans son article la renonciation au modèle économique fondé sur les matières premières en faveur d’un modèle innovant ayant défini cinq vecteurs stratégiques. Premièrement, la Russie entend se classer parmi les leaders mondiaux d’après l’efficacité de la production et l’utilisation de l’énergie. Deuxièmement, elle accédera à un niveau plus élevé dans les technologies nucléaires. Troisièmement, les spécialistes russes perfectionneront les technologies informatiques. Quatrièmement, la Russie se dotera d’infrastructure terrestre et spatiale de diffusion de tous les types d’information. Cinquièmement, elle sera à l’avant-garde de la lutte contre les maladies virulentes, cardio-vasculaires, oncologiques et neurologiques. Le système politique russe sera au plus haut point ouvert et souple. Le président Medvedev est convaincu que la Russie surmontera la crise, mettra fin au retard, à la corruption et parviendra à se moderniser.
L’opposition a approuvé ces objectifs stratégiques ce qui se présente parfaitement logique. Au micro le directeur général de la Fondation russe de la politique efficace Kirill Tanaev.
Les idées et les initiatives du président sont universelles. Elles reflètent son souci du pays et ébauchent les mesures concrètes en vue de moderniser la société, l’Etat et l’économie. Le soutien de ces initiatives par les communistes confirme qu’elles sont bien fondées, a souligné Kirill Tanaev.
Le leader communiste Guennadi Ziouganov a indiqué que les « groupes influents de fonctionnaires corrompus et les entrepreneurs qui n’entreprennent rien empêchaient la modernisation de la Russie. Selon lui, il est impossible de modifier le système sans une lutte politique et le président devra s’appuyer sur un vaste éventail de forces publiques.
Le leader communiste Guennadi Ziouganov a indiqué que les « groupes influents de fonctionnaires corrompus et les entrepreneurs qui n’entreprennent rien empêchaient la modernisation de la Russie. Selon lui, il est impossible de modifier le système sans une lutte politique et le président devra s’appuyer sur un vaste éventail de forces publiques.
