Ainsi, une déclaration "consacrée aux nouveaux défis, comprenant entre autres, la crise financière et économique, ainsi qu'à la nécessité d'actions coordonnées" a été signée par les ministres et le commissaire européen à l'Energie Andris Piebalgs, annonce un porte-parole du ministère.
Les participants de la rencontre ont également adopté une déclaration portant sur l'élargissement de la coopération internationale dans le domaine des technologies dites "propres" (émettant des quantités réduites de CO2) et sur la mise en place d'une coopération axée sur l'utilisation efficace de l'énergie et les investissements dans les technologies propres.
Par ailleurs, les ministres ont adopté un document consacré aux investissements dans le secteur énergétique, aux problèmes de sécurité énergétique, au renforcement du dialogue entre les pays producteurs et les consommateurs de l'énergie, ainsi qu'à la lutte contre la pauvreté énergétique.
En outre, un document instituant le Partenariat international pour la coopération en matière d'efficacité énergétique (IPEEC) a été signé à Rome, ainsi qu'un mémorandum entre l'IPEEC et l'Agence internationale de l'énergie (AIE), dotant le premier d'un secrétariat au sein de la seconde.
Les membres du IPEEC sont la Russie, l'Italie, les Etats-Unis, le Brésil, le Canada, la France, l'Allemagne, le Japon, la République de Corée, le Mexique, la Chine, la Grande-Bretagne, ainsi que la Commission européenne à titre d'observateur.