Le renforcement de la coopération économique et énergétique entre les membres de l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS) est un facteur important de lutte commune contre la crise financière mondiale. C’est la conclusion faite par les membres du sommet des chefs du gouvernement de l’OCS à Astana, la capitale du Kazakhstan.
La réunion s’est tenue dans le format 6 + 4. A part la Russie, le Kazakhstan, la Kirghizie, la Chine, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan, membres de cette organisation régionale, des pays ayant le statut d’observateurs (l’Inde, la Mongolie, l’Iran et le Pakistan) y ont pris part. Les premiers ministres de l’OCS ont focalisé leur attention sur les voies pour relever les nouveaux défis économiques et renforcer le partenariat face à la situation difficile dans l’arène mondiale. Voilà ce que dit à ce sujet le chef du gouvernement russe Vladimir Poutine :
Notre réunion se passe sur un fond international qui n’est pas simple. Le monde est entré dans une phase transitoire de son développement, dont le contenu principal réside en formation d’un système économique et financier multipolaire, donc, en un renforcement de l’architecture multipolaire des relations internationales en gros. Nous assistons à la formation d’une situation géopolitique toute nouvelle, liée au renforcement des centres de croissance économique et d’influence politique. Nous verrons la transformation du système global et régional de sécurité et du développement et nous serons les membres de cette transformation. Le changement capital de la structure des relations internationales, le glissement tectonique, se manifeste par des problèmes actuels dans l’économie globale et sur les marchés financiers mondiaux. Les tares du monopolisme dans les finances mondiales, la politique de l’égoïsme économique se sont fait voir avec évidence. Pour résoudre les problèmes existants, la Russie a l’intention de participer au changement de la structure financière globale, afin d’assurer la stabilité et la prospérité dans le monde, s’assurer le progrès.
La réunion s’est tenue dans le format 6 + 4. A part la Russie, le Kazakhstan, la Kirghizie, la Chine, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan, membres de cette organisation régionale, des pays ayant le statut d’observateurs (l’Inde, la Mongolie, l’Iran et le Pakistan) y ont pris part. Les premiers ministres de l’OCS ont focalisé leur attention sur les voies pour relever les nouveaux défis économiques et renforcer le partenariat face à la situation difficile dans l’arène mondiale. Voilà ce que dit à ce sujet le chef du gouvernement russe Vladimir Poutine :
Notre réunion se passe sur un fond international qui n’est pas simple. Le monde est entré dans une phase transitoire de son développement, dont le contenu principal réside en formation d’un système économique et financier multipolaire, donc, en un renforcement de l’architecture multipolaire des relations internationales en gros. Nous assistons à la formation d’une situation géopolitique toute nouvelle, liée au renforcement des centres de croissance économique et d’influence politique. Nous verrons la transformation du système global et régional de sécurité et du développement et nous serons les membres de cette transformation. Le changement capital de la structure des relations internationales, le glissement tectonique, se manifeste par des problèmes actuels dans l’économie globale et sur les marchés financiers mondiaux. Les tares du monopolisme dans les finances mondiales, la politique de l’égoïsme économique se sont fait voir avec évidence. Pour résoudre les problèmes existants, la Russie a l’intention de participer au changement de la structure financière globale, afin d’assurer la stabilité et la prospérité dans le monde, s’assurer le progrès.
Selon Poutine, la situation actuelle dans le monde et dans la région dicte la nécessité d’augmenter le potentiel et la capacité de l’OCS de réagir de façon adéquate aux événements importants. La réponse principale à la crise financière mondiale des membres de l’organisation, ce devra être le développement maximal des économies nationales et une intégration. Tous les projets prévus : la construction des gazoducs et d’oléoducs, des sites industriels et de l’infrastructure doivent être poursuivis. A cet effet, on a avancé l’idée de création d’une banque qui financerait tous ces projets. Il était également question de l’augmentation de la part du rouble russe et du yuan chinois dans les échanges commerciaux entre les membres de l’OCS. Cela doit permettre à leurs économies et leur commerce de réduire la dépendance face aux oscillations brutales du cours du dollar et de l’euro.
