Les pronostics faits par le gouvernement sur le développement économique de la Russie en 2006 se sont justifiés d’après tous les indices, a déclaré le ministre des finances Alexei Koudrine à une conférence de presse à Moscou.
Les pronostics, c’est une entreprise ingrate, disent les sportifs. Cela est non moins vrai pour l’économie, écrit Victor Enikéev. Cette fois, cependant, le gouvernement russe a su réaliser toutes les tâches. Le ministre Alexei Koudrine a mis l’accent sur plusieurs acquis, notamment sur le développement du système bancaire et la libération du marché. Qui plus est, il a indiqué que la Russie avait remboursé cette année la dette au Club de Paris ayant su baisser l’inflation. Le taux d’inflation ne dépassera pas 9% à l’issue de l’année. Auparavant il a été impossible d’y parvenir.
Cela est très important tant pour un ouvrier, un médecin ou un entrepreneur que pour les investisseurs. La Russie a des acquis substantiels à démontrer. Les salaires des habitants ont augmenté entre janvier et novembre de près de 13,5%. Cela s’est répercuté sur le commerce de détail qui s’est accru en cette période de près de 14%. Le ministre ruse du développement économique et du commerce a rendu hier publics ces indices. Il a signalé, en outre, l’afflux des investissements dans l’économie ayant constitué près de 13%. Sans parler d’autres indices macro-économiques enregistrés en 2006 en Russie. Le PIB s’est accru de 7% ce qui est supérieur aux pronostics.
Il est sans doute inutile de retenir tous ces indices. Or, ils permettent de se faire une idée juste sur la situation économique en Russie. Il ne faut pas oublier que l’économie, l’industrie et l’agriculture sont en croissance pendant la 7ème année consécutive. Force est d’invoquer encore un indice impressionnant mentionné ces derniers jours par le ministre russe de l’agriculture Alexei Gordeev. Il a fait savoir que son département avait exporté cette année les produits pour 4 milliards de dollars. Cet indice est un peu inférieur à celui enregistré dans les exportations d’armements. La Russie se classe la 3ème au monde dans ce domaine. L’agriculture a de tout temps été un point vulnérable en URSS et en Russie et maintenant elle se développe dynamiquement. Cela confirme que l’économie du pays évolue dans un sens juste et s’appuie sur un fondement solide.
Les pronostics, c’est une entreprise ingrate, disent les sportifs. Cela est non moins vrai pour l’économie, écrit Victor Enikéev. Cette fois, cependant, le gouvernement russe a su réaliser toutes les tâches. Le ministre Alexei Koudrine a mis l’accent sur plusieurs acquis, notamment sur le développement du système bancaire et la libération du marché. Qui plus est, il a indiqué que la Russie avait remboursé cette année la dette au Club de Paris ayant su baisser l’inflation. Le taux d’inflation ne dépassera pas 9% à l’issue de l’année. Auparavant il a été impossible d’y parvenir.
Cela est très important tant pour un ouvrier, un médecin ou un entrepreneur que pour les investisseurs. La Russie a des acquis substantiels à démontrer. Les salaires des habitants ont augmenté entre janvier et novembre de près de 13,5%. Cela s’est répercuté sur le commerce de détail qui s’est accru en cette période de près de 14%. Le ministre ruse du développement économique et du commerce a rendu hier publics ces indices. Il a signalé, en outre, l’afflux des investissements dans l’économie ayant constitué près de 13%. Sans parler d’autres indices macro-économiques enregistrés en 2006 en Russie. Le PIB s’est accru de 7% ce qui est supérieur aux pronostics.
Il est sans doute inutile de retenir tous ces indices. Or, ils permettent de se faire une idée juste sur la situation économique en Russie. Il ne faut pas oublier que l’économie, l’industrie et l’agriculture sont en croissance pendant la 7ème année consécutive. Force est d’invoquer encore un indice impressionnant mentionné ces derniers jours par le ministre russe de l’agriculture Alexei Gordeev. Il a fait savoir que son département avait exporté cette année les produits pour 4 milliards de dollars. Cet indice est un peu inférieur à celui enregistré dans les exportations d’armements. La Russie se classe la 3ème au monde dans ce domaine. L’agriculture a de tout temps été un point vulnérable en URSS et en Russie et maintenant elle se développe dynamiquement. Cela confirme que l’économie du pays évolue dans un sens juste et s’appuie sur un fondement solide.
