La mission de la Ligue Arabe au Liban semble avoir trouvé des voies pour sortir d’une crise politique. En tout cas, l’opposition est prête à participer à la création d’un gouvernement d’union nationale. Notre observateur Alexandre Vatoutine note que le gouvernement est aussi prêt au compromis.
La Ligue arabe propose de former un gouvernement où la majorité au pouvoir aurait 19 postes sur 30, l’opposition – 10 postes et un ministre devrait rester neutre. Cette répartition des forces garantit qu’aucune des décisions gouvernementales ne serait prise sans l’accord de l’autre partie.
Le secrétaire général de la Ligue Arabe Amr Moussa est revenu d’urgence dans la capitale libanaise. Il avait interrompu sa visite aux Etats-Unis pour continuer les efforts de son représentant, diplomate soudanais Moustafa Ismaïl qui a su obtenir l’accord du leader du mouvement le HEZBOLLAH Hassan Nasralla pour former le gouvernement d’union nationale garantissant le droit de veto à l’opposition.
En plus, la Ligue Arabe propose aux partis libanais de confirmer qu’ils aspirent à l’union du pays et de renoncer aux actions qui provoqueraient l’escalade de tensions et de désaccords interconfessionnels. Les parties du conflit doivent reprendre le dialogue et le parlement – se remettre à travailler. Il faut aussi organiser les élections extraordinaires et choisir un nouveau président du pays. Le président du comité pour les affaires étrangères de la chambre haute du parlement russe – du Conseil de Fédération – Mikhaïl Margelov donne son commentaire de la situation au Liban :
La Ligue arabe propose de former un gouvernement où la majorité au pouvoir aurait 19 postes sur 30, l’opposition – 10 postes et un ministre devrait rester neutre. Cette répartition des forces garantit qu’aucune des décisions gouvernementales ne serait prise sans l’accord de l’autre partie.
Le secrétaire général de la Ligue Arabe Amr Moussa est revenu d’urgence dans la capitale libanaise. Il avait interrompu sa visite aux Etats-Unis pour continuer les efforts de son représentant, diplomate soudanais Moustafa Ismaïl qui a su obtenir l’accord du leader du mouvement le HEZBOLLAH Hassan Nasralla pour former le gouvernement d’union nationale garantissant le droit de veto à l’opposition.
En plus, la Ligue Arabe propose aux partis libanais de confirmer qu’ils aspirent à l’union du pays et de renoncer aux actions qui provoqueraient l’escalade de tensions et de désaccords interconfessionnels. Les parties du conflit doivent reprendre le dialogue et le parlement – se remettre à travailler. Il faut aussi organiser les élections extraordinaires et choisir un nouveau président du pays. Le président du comité pour les affaires étrangères de la chambre haute du parlement russe – du Conseil de Fédération – Mikhaïl Margelov donne son commentaire de la situation au Liban :
Touchons donc du bois pour qu’il n’y ait pas de guerre civile au Liban. Le pays a assez souffert. Le fait que les différentes forces politiques du Liban réussissent à ne pas sombrer dans la guerre est un succès politique.
La formation d’un gouvernement d’union nationale au Liban permettra d’éviter la guerre civile. Tout dépend du désir des politiques libanais d’enter en dialogue et de faire de sorte que la paix et la prospérité puissent revenir dans le pays. Le Liban : l’opposition est prête aux compromis pour créer un gouvernement d’union nationale
La formation d’un gouvernement d’union nationale au Liban permettra d’éviter la guerre civile. Tout dépend du désir des politiques libanais d’enter en dialogue et de faire de sorte que la paix et la prospérité puissent revenir dans le pays. Le Liban : l’opposition est prête aux compromis pour créer un gouvernement d’union nationale
