"La paix ne peut jamais aller sans la femme. La femme est l'alliée de la société. Quand il y a la guerre ou les conflits, si la femme est bien représentée, la femme peut apaiser les cœurs. Et là du coup, c'est difficile de parler de paix sans la femme", souligne Mme Assetou Traoré, Commissaire générale du FESTI-FEM, également présidente d’une association de femmes, CIRA CHARITY.
Elle ajoute: "Avant, la femme savait qu'elle, elle vient dans le foyer pour non seulement s'occuper du foyer, s'occuper de ses enfants et s'occuper de son homme. Mais actuellement, c'est le contraire, les hommes sont à la recherche, les femmes sont à leur recherche et les foyers sont laissés à eux-mêmes et les enfants sont laissés à eux-mêmes".
Quant à la structure du festival, "cette année, on fait des panels. On a fait dix panels. On a pris des thématiques: comment s'occuper du foyer à l’africaine, et aussi l'impact de la finance par rapport à la VBG. On a parlé aussi de la femme-père, femme et consolidation, femme et inclusion financière, femme et autonomisation. Voilà un peu, ce sont des thèmes que nous avons abordés".
"L'Impact est très visible parce que vous le savez tous, quand on parle de culture, on parle musique, la femme est là. Maintenant, nous, on veut se servir de ça pour les orienter, pour les sensibiliser", conclut-elle.
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