"Les mesures de doses effectuées sur ces matières révèlent une toxicité dont le taux varie entre 7 et 10 microsieverts par heure, alors que la dose normale est de 0,5 microsievert", a ajouté Alio Daouda, précisant que "les échantillons prélevés ont mis en évidence l'association de deux produits, à savoir le bismuth 207 et le chrome X".
Selon lui, “cette société continue de porter atteinte à la santé des populations nigériennes par la planification de crimes de masse caractérisés par l’emploi de substances radioactives, la mise en danger de la vie d’autrui et des dégradations de l’environnement", a noté le ministre.
Il a ajouté qu’Orano refuse d’obtempérer à des décisions de justice rendues par les tribunaux nigériens. En poursuivant l’entreprise, le Niger vise à obtenir réparation de tous les préjudices.