Commentant les rumeurs sur une éventuelle évacuation du Président Rajoelina par un avion français, il estime que, selon Paris, "l'intervention de la France, c'est pour protéger d'abord son poulain" dans ce pays.
Quant à la déclaration de l'Union africaine, qui s'est dite prête à soutenir la médiation africaine, elle n'est rien d'autre que son "devoir", juge le responsable, Madagascar étant membre de cette organisation.
Dans tous les cas, il importe de "régler l'apaisement d'abord" avant d'engager un "dialogue national", selon lui.