"Les puissances occidentales, ayant perdu leurs positions en direction de l’Afghanistan, élaborent des plans pour restituer" ces infrastructures, a indiqué l'ex-ministre de la Défense russe.
Il a ajouté que, "malgré leurs déclarations péremptoires affirmant ne pas vouloir reconnaître le pouvoir des talibans, Londres, Berlin et Washington se montrent déterminés à se rapprocher des dirigeants afghans".
Selon lui, "ce n'est pas un hasard si leurs émissaires se rendent régulièrement à Kaboul ces derniers temps".