"Macron a dû juger, je suppose, je suppose, qu' il a dû faire demander par des intermédiaires s'il appelait le président Poutine, est-ce que celui-ci l'accepterait de le prendre, et que la réponse a été oui", a estimé le président de l'UPR François Asselineau.
"Je pense que si Poutine et Macron se sont parlés, c'est parce que la France et la Russie sont, comme vous le savez, membres permanents du Conseil de sécurité. Voilà. Je pense que c'est ça qui a poussé. Il va y avoir des débats très importants, notamment avec l'AIEA et avec l'Iran dans les prochaines semaines. En tout cas, c'est mon interprétation des choses", a ajouté l'homme politique français.
Retrouvez également dans cette émission:
🎙 Pierre-Antoine Plaquevent, analyste français, directeur du think-tank Strategika sur le même sujet;
🎙 Iba Karim, ancien parlementaire burkinabé et docteur en économie, sur les bénéfices records des sociétés d'état burkinabè en 2024.
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