Selon lui, une véritable stratégie de développement du cinéma demande toujours "beaucoup d'investissements et l'implication des grandes sources financières du pays".
Il déplore également le fait qu'il s'avère "très difficile" de trouver "un distributeur européen, ou bien américain, ou bien africain, ou bien arabe qui peut prendre en charge le film marocain".
Concernant le Festival, M. El Jebbari reconnaît que ce dernier "aide faire des rencontres" et "partager les idées, faire des stratégies pour le développement de la télévision arabe".
"Mais ça reste toujours insuffisant puisqu'il n'y a pas l'implication des gouvernements, il n'y a pas l'implication des grands producteurs qui ont les moyens pour un petit peu améliorer ce domaine", constate-t-il.