"Ses gardes du corps ont été désarmés et un mandat d'arrêt a été délivré à son encontre", indique le document transmis par Pal Mai Deng, porte-parole du parti.
Il mentionne également des "tentatives pour reloger" Riek Machar et qualifie ces actes de "mesures anticonstitutionnelles".
Ce développement constitue également une violation de l'accord de paix revitalisé, "car aucune procédure légale, telle que la levée de son immunité, n'a été respectée", selon le SPLM-IO.
Salva Kiir, actuel Président du Soudan du Sud, et Riek Machar étaient parvenus à un accord de partage du pouvoir au terme du conflit qui a opposé leurs forces entre 2013 et 2018.