Mikatekiso Kubayi commente ainsi les déclarations du chef de la diplomatie russe selon lesquelles la sécurité alimentaire en Afrique, affectée par les sanctions occidentales, est une préoccupation pour Moscou.
Les restrictions posent problème et devraient être un outil des Nations unies dans leur ensemble, et non de pays individuels, estime l'universitaire.
Malgré l'opposition de l'Afrique, les puissances continuent d'imposer des sanctions à d'autres nations, comme dans le cas du Zimbabwe, note-t-il.
"Il y a des pays qui sont tout simplement plus puissants que d'autres; c'est un problème dans le monde. Ceux qui sont puissants ont tendance à s'imposer aux autres, y compris sur des questions telles que l'application unilatérale de sanctions", a-t-il souligné.