Interrogé sur l'existence d'une certaine compréhension mutuelle entre les parties, le responsable politique a déclaré:
"Comment pourrait-il en être autrement, si nous siégeons depuis trois heures déjà, à discuter des problèmes graves. Poursuivons donc cette conversation".
Il n'a pas pourtant précisé si d'autres réunions au niveau des experts étaient prévues.
"On n'a pas encore fini", a indiqué Grigori Karassine.