La Confédération souhaite échanger d'égal à égal avec les autres puissances et c'est cette logique qui a prévalu pour quitter l'association "où on n'est pas respecté", explique le Dr Mamoudou Adamou, de l'Université Abdou Moumouni à Niamey.
L'AES cherche des accords gagnant-gagnant et "non des accords où il y a certains pays qui pensent être plus civilisés, qui doivent gagner beaucoup plus que les autres", souligne-t-il.
La possibilité de s'exprimer "sans aucune menace de sanctions" est l'un des avantages de cette décision, ajoute l'universitaire.