Les parties ont aussi réitéré le droit de Téhéran à utiliser l’énergie nucléaire à des fins pacifiques.
De son côté, le Kremlin a souligné ce vendredi l'illégitimité de ces restrictions anti-iraniennes dans le dossier nucléaire.
"Les relations diplomatiques fondées sur le respect mutuel sont la seule solution efficace", a rapporté le Global Times après la réunion.
Sanctions contre l'Iran
En 2015, six pays (Royaume-Uni, Allemagne, Chine, Russie, États-Unis, France) et l'Iran ont signé un traité, qui prévoyait la levée des sanctions contre l'Iran en échange d'une limitation par Téhéran de son programme nucléaire.
En mai 2018, le Pésident américain de l’époque, Donald Trump, s’est retiré de l’accord nucléaire et a rétabli les sanctions unilatérales contre l’Iran. En réponse, Téhéran a commencé à réduire progressivement ses engagements visant à limiter son programme nucléaire dans le cadre de l’accord.
En février 2025, Trump a signé un décret rétablissant la politique de pression maximale contre l’Iran. Trump a déclaré qu'il n'avait pas l'intention de provoquer une confrontation armée avec l'Iran et qu'il souhaitait conclure un accord avec Téhéran sur la question nucléaire iranienne afin d'éviter une confrontation.