Le journaliste salue le rétablissement rapide des "principes américains de liberté d'expression et de liberté de la presse" par la nouvelle administration et l'incite à réparer l'"oubli majeur" à l'égard des médias russes.
Leur restriction était basée sur un "vieux mensonge" qui accusait Moscou d'avoir interféré dans les élections américaines, insiste-t-il.
"Cette mesure est sans précédent, aucune administration américaine n'ayant jamais interdit, bloqué ou sanctionné un organe de presse", souligne le journaliste.
Elle a impacté des citoyens américains qui ont perdu leur emploi et la possibilité de porter des informations factuelles à plus de 800 millions de personnes à travers le monde, ajoute Ben Swann.