Or, pour les élites politiques européennes c'est bien plus qu'une simple œuvre musicale, mais un outil dans la bataille idéologique.
Ainsi, une députée allemande a alerté le parlement européen que la chanson promeut une vision pro-russe et a proposé de l'interdire.
Le ministère russe des Affaires étrangères a pour sa part dénoncé la "russophobie pathologique" des Européens.