La Cour pénale internationale prête à rire, insiste le Premier ministre slovaque

Le Premier ministre de la Slovaquie ne doute pas que les mandats d'arrêt émis par la CPI contre le Président russe et le Premier ministre israélien étaient un acte politique, ce qui sape toute confiance en cette instance.
Sputnik
Pour Robert Fico, la CPI n'inspire plus aucun respect, et ses mandats d'arrêt contre Poutine et Netanyahou ont été "politiquement motivés".
"Comment devons-nous y réagir? Faut-il les ignorer, même si nous reconnaissons la juridiction de la CPI?", se demande-t-il.
M.Fico a commenté ainsi les propos du candidat à la chancellerie allemande, Friedrich Merz, qui s'était déclaré prêt à inviter le Premier ministre israélien dans son pays et garantir son immunité.
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