"Notre idée a été de faire découvrir aux pays africains de nouvelles espèces" existant en Russie, a poursuivi Ivan Fetissov.
Il a noté que le salon a attiré "tout le continent africain" avec de nombreux pays qui y ont envoyé des ministres, des chefs d'entreprises "pour voir ce qu'il y a de nouveau".
Côté russe, en plus des entreprises de pêche, une importante société logistique a été présente, intéressée pour travailler en Afrique.
Pour cette édition, la Russie a presque quadruplé la superficie de son pavillon. Un des stands a été consacré à la grande expédition africaine qui étudie les ressources halieutiques du continent noir.
Une carte interactive a été préparée avec des données sur les quantités et les espèces de poissons présents dans telle ou telle zone. Elle a suscité de l'intérêt des visiteurs, parmi lesquels il y avait beaucoup d'écoliers.
Conduire des recherches est d'autant plus important que "tout dépend de la science", a souligné le responsable.