"Nous sommes désinformés en permanence par la presse du système, du pouvoir et ces gens-là ont le toupet de porter des jugements sur la Russie, sur le gouvernement russe", s'insurge-t-elle.
Elle affirme qu'un de ses collègues s'est retrouvé sans travail et sans argent pour avoir évoqué des sujets "qui dérangeaient", dont le Covid et les vaccins.
"Des Français comme moi ou comme lui" pensent à venir en Russie "pour se sentir mieux, pour se sentir plus libres", ajoute-t-elle.