"Nous devrons mieux détecter les volontaires", "les former et être capables de les mobiliser le jour venu", "en renfort des armées en métropole ou ailleurs", a déclaré Emmanuel Macron le 20 janvier en adressant ses traditionnels vœux aux armées, près de Rennes.
"L'accumulation des menaces" oblige la France à s'adapter, selon lui.
Il ne s'agit pourtant pas du rétablissement du service national obligatoire, a-t-il ajouté. Les propositions seront présentées par le gouvernement et l'état-major des armées d'ici à mai.