Ils ne pourront plus le faire désormais, et les condamnations à mort existantes sont commuées en peines d'emprisonnement.
Cependant, une disposition permet de rétablir la peine capitale en cas d'état d'urgence.
Amnesty International a salué un "moment historique" et appelé les autorités à passer à l'abolition totale en supprimant la clause qui permet de restaurer la peine.