“Les autorités de Côte d'Ivoire n'ont pas besoin du prétendu 'soutien' des forces militaires étrangères présentes ici depuis 1893", indique une déclaration de l'instance.
Cela s'inscrit dans la logique des processus en cours dans les pays francophones d'Afrique de l'Ouest, précise le communiqué. La population perçoit de plus en plus de manière critique la présence massive de l'ancienne métropole.
Le ministère rappelle que la France s'apprête à transférer sa plus grande base militaire sur la côte du golfe de Guinée, Port-Bouët, sous le contrôle des autorités ivoiriennes en 2025.