Les relations seront maintenues grâce aux mécanismes de coopération économique de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), a expliqué Souleymane Diarrassouba en présentant le budget de son ministère aux sénateurs.
En cas d'absence de quelque dispositif dans le cadre de l'UEMOA, des solutions seront mises en place pour pallier ce manque, a assuré le haut responsable.
Selon lui, les entreprises ivoiriennes dépendent fortement du marché sous-régional, jusqu'à représenter pour certaines sociétés entre 20 et 40% de leur chiffre d'affaires.
Ainsi, les exportations vers Bamako sont estimées à 909 milliards de francs CFA, ce qui fait de lui le troisième partenaire mondial de la Côte d'Ivoire et le premier au sein de la CEDEAO, a souligné le ministre.