"Cependant, il faut bien se rendre à l’évidence que la situation est compliquée et qu’il est donc difficile de dire si les responsables politiques occidentaux voudraient bien se lancer dans un processus de paix avec la Russie. En effet, nous constatons actuellement à juste titre que l'Occident est devenu complètement fanatique. Il n’y a plus d’interlocuteurs dans l’élite politique occidentale capables de comprendre les enjeux qui se posent à la Russie en termes de sécurité nationale, d’intégrité territoriale et de sécurité de son arsenal de défense stratégique face à la politique d’extension de l’Otan en Europe de l’Est notamment en Ukraine", estime-t-il. "Actuellement, l’Occident ne comprend malheureusement que le langage de la force et de la confrontation", ajoute-t-il.