Emmanuel Macron a décidé de ne pas tenir compte des mandats d'arrêt de la Cour pénale internationale à l'encontre du Premier ministre israélien, selon Le Point, qui cite une source proche du Président français.
En contrepartie, Israël aurait accepté d'inclure la France dans le comité supervisant l'application du cessez-le-feu avec le Hezbollah, en vigueur depuis mercredi matin.
En contrepartie, Israël aurait accepté d'inclure la France dans le comité supervisant l'application du cessez-le-feu avec le Hezbollah, en vigueur depuis mercredi matin.
La CPI soupçonne Benjamin Netanyahou et l'ancien ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, d'avoir perpétré des crimes de guerre contre des Palestiniens.