"Nous n'avons aucune objection à la coopération avec des entreprises russes dans des projets visant à restaurer la Libye. Nous n'avons aucune objection non plus aux visites en Russie si des invitations officielles sont reçues", a-t-il indiqué.
Le gouvernement de l'est de la Libye est prêt à coopérer, a-t-il souligné.
Il y a deux gouvernements en Libye qui ne se reconnaissent pas. Le premier, soutenu par l'Onu et dirigé par Abdelhamid Dbeibah, opère à Tripoli. Le second, habilité par la Chambre des représentants du pays, est basée à Benghazi, dans l'est du pays, et dirigé par Oussama Hammad.
La Libye a cessé de fonctionner comme un État unique après le renversement et l’assassinat du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi en 2011. En 2021, le Forum de dialogue politique libyen à Genève, sous les auspices de l'Onu, a élu un exécutif de transition jusqu'aux élections générales, qui n'ont pas encore eu lieu.