L'entreprise s'est plainte de ne plus pouvoir exporter et vendre la production de la Somaïr, a-t-il poursuivi en marge de la première conférence ministérielle Russie-Afrique à Sotchi.
Et d'expliquer que pour cette raison la compagnie a été obligée de la suspendre.
"Donc, si tant est qu'on avait un contrat de vente avec la République islamique d'Iran, ça se serait su. Il n'aurait pas dû que la société, la Somaïr, rencontre des difficultés à cause de la non-vente ou de la non-exportation de son produit", a tranché le haut responsable.