Les discussions avec la Russie ont ouvert la voie à la résolution de ce qui est actuellement le plus important pour le continent africain, qui poursuit un programme de transformation, selon lui.
"Ce qui compte, c'est la façon dont chaque partenaire s'intègre dans nos priorités en tant que continent [...] L'Afrique ne doit pas être considérée comme un continent à nourrir, mais plutôt comme un continent qui peut contribuer à nourrir le monde", a indiqué M.Antonio.
Le ministre a également souligné le potentiel de l'Afrique en matière d'industrialisation, de transfert de connaissances et de souveraineté alimentaire.
D'après lui, l'évènement a non seulement servi de mécanisme de suivi du précédent sommet des chefs d'État, mais a également jeté les bases du prochain sommet de 2026.